quand je pense à tous mes amis
des plus proches aux plus lointains
qui chaque nuit enjolivaient ma vie
quand nous nous quittions au matin
je sombrais heureux dans le sommeil
me laissant bercer par les souvenirs
des mille folies jamais pareilles
que nous promettait notre avenir
des verres des cartes des filles
saupoudrés de grands éclats de rire
nous pensions que perdre nos billes
était ce qu'il pouvait nous arriver de pire
aujourd'hui je compte les absents
dont le départ a fait de ma vie
cet énorme gouffre plein de néant
je me rend compte que je vieillis
s'ils sont au plus haut des cieux
comme je les aime et les connais
ils reposent à la droite de Dieu
mais seulement quelquefois en paix
vous tous jouisseurs devant l'eternel
ouvrez moi de vos coeur la chaleur
quand j'irai dans un élan fraternel
retrouver de nos vingt ans la douceur
des plus proches aux plus lointains
qui chaque nuit enjolivaient ma vie
quand nous nous quittions au matin
je sombrais heureux dans le sommeil
me laissant bercer par les souvenirs
des mille folies jamais pareilles
que nous promettait notre avenir
des verres des cartes des filles
saupoudrés de grands éclats de rire
nous pensions que perdre nos billes
était ce qu'il pouvait nous arriver de pire
aujourd'hui je compte les absents
dont le départ a fait de ma vie
cet énorme gouffre plein de néant
je me rend compte que je vieillis
s'ils sont au plus haut des cieux
comme je les aime et les connais
ils reposent à la droite de Dieu
mais seulement quelquefois en paix
vous tous jouisseurs devant l'eternel
ouvrez moi de vos coeur la chaleur
quand j'irai dans un élan fraternel
retrouver de nos vingt ans la douceur