Précieuse amie
Un ami, c’est celui qui pleure quand on pleure,
Mais c’est aussi, et c’est encore plus précieux,
Celui qui vous secoue, qui vous dit : tu as tort !
Celui qui vous relève toujours et encore.
Il n’est pas complaisant, mais il est judicieux,
Il vous gifle au besoin, puis vous envoie des fleurs.
Merci, précieuse amie, de m’avoir toujours dit
Ce qu’il fallait, plutôt que ce que je voulais.
C’est toi qui avais raison, je m’y suis brûlée.
Merci, précieuse amie, la plus belle des fées.
Et si à ton tour tu flanchais, si tu tombais,
Je serais ta muraille pour que tu t’appuies.
Un ami, c’est celui qui pleure quand on pleure,
Mais c’est aussi, et c’est encore plus précieux,
Celui qui vous secoue, qui vous dit : tu as tort !
Celui qui vous relève toujours et encore.
Il n’est pas complaisant, mais il est judicieux,
Il vous gifle au besoin, puis vous envoie des fleurs.
Merci, précieuse amie, de m’avoir toujours dit
Ce qu’il fallait, plutôt que ce que je voulais.
C’est toi qui avais raison, je m’y suis brûlée.
Merci, précieuse amie, la plus belle des fées.
Et si à ton tour tu flanchais, si tu tombais,
Je serais ta muraille pour que tu t’appuies.